Docks, port commercial. Reconstruits à l’identique dans l’objectif de conserver le patrimoine historique de la ville, il ne fait pas bon y traîner la nuit tombée. Si les légendes de monstres marins ou de naufrages ne vous effraient pas, ils sont devenus le nœud central de la criminalité et abritent divers trafics.

Bureau de police. Dans l’espoir que le raz-de-marée soit une bénédiction permettant de réhabiliter le quartier, le commissariat de Blurrydale a été déplacé à Whalers Bank lors de la reconstruction. Comme le reste du quartier, il a aujourd’hui des airs abandonnés qui échouent généralement à dissuader… contrairement peut-être à une nuit inconfortable sur les bancs de ses cellules de garde à vue.

Pub. Ce pub, quoiqu’un peu miteux, est le seul bâtiment qui ait subsisté au raz-de-marée, mais sa valeur historique n’attire plus personne depuis bien longtemps. On y trouve les pintes les moins chères mais aussi les moins bonnes de tout Blurrydale. La déco misant tout sur le thème de la chasse à la baleine ne déroutera pas les habitués, mais échoue à attirer le touriste. Heureusement, ses piliers de bar suffisent à faire son chiffre d'affaires.

Logements. Bicoques peintes délavées par les embruns ou immeubles au visage d'entrepôts, difficile de rêver d’habiter à Whalers Bank. Datant essentiellement des années 1940 et 1950, ces habitations bon marché et relativement à l’abandon satisferont tout de même les moins privilégié·es en leur offrant un toit.